Cela a été réalisé par l’OFB et le CNRS sur les données collectées dans l’Ain et le Jura, sur la période 2016-2024, ce qui offre de nombreuses années de recul. Toutefois, ces données sont à interpréter avec précaution sur des aires de suivi restreintes (< 200km²).
Pour plus de détails sur le travail, consultez les rapport de stages suivant :
Les estimations de densités ont été «spatialisées» (montrent les différences de densités selon les localisations) afin de tenir compte des variations de résultats entre les pièges photographiques. Moins en valeurs absolues, qui dépendent surtout des surfaces des dispositifs de suivi locaux, c’est le contraste des cartographies qui est à retenir pour évaluer les variations de densités locales de lynx mesurées.
L'objectif pour l'étude ECOLEMM et ensuite de croiser ces résultats avec les études du fonctionnement des populations d'ongulés.
Les résultats suggèrent que la période d’automne et pré hivernale représente, à priori, mieux la cartographie annuelle de la densité de lynx. Cependant, la taille de la zone échantillonnée et les modalités de pose des pièges ne permettent pas de renseigner une pression de prédation tel que le suivi télémétrique le permettrait. Pour tenter de compenser ce manque de données, un plan d'échantillonnage plus fin a été testé et analysé. Il ressort effectivement que ce travail permet d'apporter plus de détails dans l'estimation des densités locales.
Pour plus de détails sur le travail, consultez l’article suivant : |
Procédure d'identification des lynx - Source: OFB |